Un état des lieux quasi exhaustif sur les apports des neurosciences pour l’éducation, en lien notamment avec les troubles de l’apprentissage. Le seul ouvrage collectif francophone qui fait le point sur les liens qui unissent pédagogie et cerveau.

Des fiches pratiques qui vont aider les enfants à comprendre pourquoi et comment ils doivent apprendre telle notion du programme scolaire, mais aussi repérer les différentes manières d’y parvenir et, grâce à de courts tests, celle qui leur correspond le plus. Cet ouvrage aide  à mieux apprendre et à mieux s’organiser,  favoriser l’ autonomie, et le désir d’apprendre.

Comment apprend-on ? Quelle est la place de la mémoire, de la motivation, du désir ou de l’émotion ? Que sait-on des capacités étonnantes du cerveau ? Pourquoi certains enfants ou adultes ont-ils tant de difficultés à apprendre ? Dans ce livre, l’auteur, lui-même ancien cancre, suggère une approche radicalement nouvelle de l’apprentissage. Il montre qu’apprendre est un processus complexe, souvent conflictuel, qui suppose de bousculer les conceptions ancrées dans nos têtes. S’appuyant sur sa longue expérience d’enseignant, André Giordan avance des propositions pratiques pour mieux apprendre et propose une redéfinition du rôle et de la place de l’école. Dans une société en pleine mutation, contrainte d’innover en permanence, il est vital, plaide-t-il, de développer une  » culture du questionnement « .

Si les serious games font l’objet de nombreuses expériences de terrain dans l’enseignement primaire et secondaire, ils restent suspects aux yeux d’une partie de la communauté éducative. Que penser de leur potentiel éducatif ? Qu’en dit la recherche ? Quels jeux choisir et comment les utiliser en classe pour favoriser l’apprentissage ? Cet ouvrage répond à ces questions de manière claire et synthétique. Il adopte un point de vue nuancé sur les serious games et donne des pistes concrètes pour en faire un usage pertinent en classe.

Le nouveau socle commun intègre désormais dans son domaine 2 les « outils et méthodes pour apprendre ». Cet ajout explicite recueille plus de 83% d’avis positifs chez les 160 000 enseignants ayant répondu à la consultation nationale du Ministère. Car chacun sait qu’ « apprendre à apprendre » est une des clés de la réussite scolaire. Cet ouvrage propose de multiples pistes pour que les élèves puissent s’approprier les compétences méthodologiques nécessaires, à travers les disciplines, dans chaque matière.

Les neurosciences provoquent des polémiques. Pour certains, elles représentent une menace pour une vision humaniste de la pédagogie. Pour d’autres, elles produisent des résultats évaluables qui feraient office de preuves. Est-on condamné à cette logique binaire ?

TU NAGES SOUS L’EAU AUX CÔTÉS D’UN GROUPE D’ÉPAULARDS…

L’un d’eux arrête sa course pour t’observer. Il est si près que tu pourrais le toucher. Soudain, il plonge dans les profondeurs. Tu le suis du regard, puis tu plonges à ton tour.
Lorsque tu remontes à la surface, tu grimpes à bord d’un bateau qui t’attendait. Quelqu’un s’adresse à toi :

  « Alors, tu as aimé ta plongée ? »

En te retournant, tu te retrouves face à face avec l’océanographe Sarika Cullis-Suzuki, la fille du célèbre communicateur David Suzuki.

Tandis que Sarika décrit le rôle essentiel que jouent les supers prédateurs dans la chaîne alimentaire marine, derrière elle, un épaulard saute hors de l’eau. Tu fais un arrêt sur l’image de l’épaulard en plein saut et tu t’approches pour l’observer de plus près. Une vignette apparaît vis-à-vis de l’animal ; elle contient des données sur son poids, son âge, ses préférences alimentaires, sa vitesse de nage et les voies de migration qu’il emprunte.

L’objectif du programme « Ecole des Océans » est de donner un outil aux enseignants qui va fasciner les élèves, c’est un programme novateur d’apprentissage pour les élèves basé sur le web interactif. 629 Spots mondiaux, représentant un large éventail d’écosystèmes, fourniront le cadre des expériences qui transformera la façon dont les élèves participent au programme de sciences.  Simulation, jeux et données pédagogiques seront la base de l’apprentissage et du questionnement des élèves.

Si vous souhaitez vivre l’expérience et la faire vivre à vos élèves…  plongez ici et inscrivez-vous à l’atelier A17 !

Inscription

De même, en tant que producteurs de contenus, ils sont soucieux d’éviter les usages abusifs de leurs productions, tout en s’assurant du respect de leur travail.

Les licences Creative Commons permettent de résoudre ces problèmes simplement : l’auteur d’un contenu peut choisir les conditions d’utilisation de son travail par d’autres : doit-on mentionner son nom si on utilise sa création ? Peut-on faire une utilisation commerciale du contenu ? Peut-on le modifier ? A partir des réponses à ces questions, la licence d’utilisation est présentée d’une façon standardisée et simple d’accès qui permet de savoir aussitôt ce qu’il est possible, ou non, de faire avec le document.

Il est ainsi facile de trouver des contenus qu’on peut utiliser en toute légalité dans ses productions pédagogiques (d’autant que beaucoup de moteurs de recherche permettent d’utiliser ce critère pour filtrer les résultats de recherche et que d’autres moteurs sont spécialisés dans les contenus sous licence Creative Commons) et de définir comment ces productions peuvent à leur tour être réutilisées.

Lors de l’atelier A8, Joël Beney, professeur d’anglais au collège Daniel Argote d’Orthez, répondra entre autres aux questions suivantes :

• Quel est l’intérêt d’utiliser des contenus sous licence Creative Commons ?
• Comment trouver des contenus sous licence Creative Commons ?
• Comment savoir ce que j’ai le droit de faire avec un contenu sous licence Creative Commons ?
• Pourquoi et comment choisir une licence Creative Commons pour les contenus que je produis ?

Il nous livre le résumé de son intervention :

L’introduction des TIC dans les situations de classe ne consiste pas seulement en l’introduction de machines plus ou moins faciles ou difficiles à utiliser tant par les enseignants que par les élèves. C’est l’introduction d’un ou plusieurs objets techniques qui modifient l’équilibre entre les objets pédagogiques et les objets didactiques déjà là. Cette intervention consistera à montrer en quoi les contenus d’enseignement scolaires, que nous appelons « objets didactiques » sont étroitement liés à des formalismes de représentation et des scénarios pédagogiques que nous appelons « objets pédagogiques ». Ces associations objet didactique/objet pédagogique qui constituent les programmes scolaires sont en partie le résultat de choix contraints par les technologies de diffusion, de « monstration » et prise de note dominantes que sont, respectivement, l’imprimerie, le tableau et la craie, le papier et le stylo. Autrement dit, les programmes scolaires ne contiennent que des objets enseignables par les technologies disponibles. Nous montrerons non seulement que les TIC font perdre de leur intérêt à certains objets didactiques et pédagogiques qui existaient avant leur introduction, mais aussi et surtout que les TIC, en tant que technologies invasives offrent de définir de nouveaux objets didactiques et pédagogiques, comme par exemple ceux de la géométrie dynamique. C’est l’une des portes d’entrée des TIC dans les pratiques pédagogiques.